Une rencontre avec… Bertrand Desfossés
Massothérapeute pendant 30 ans, il a été le cofondateur et directeur du Centre d’épanouissement psycho-corporel de l’Outaouais. J’ai eu le bonheur de vivre une rencontre de trois heures avec cet homme de cœur.
Massothérapeute pendant 30 ans, il a été le cofondateur et directeur du Centre d’épanouissement psycho-corporel de l’Outaouais. J’ai eu le bonheur de vivre une rencontre de trois heures avec cet homme de cœur.
Le « toucher ». À lui seul, ce mot est évocateur. Instantané.Le Toucher… ment, il me connecte à mon monde intérieur, à mon rapport à autrui et à mon corps dans l’immensité de son besoin de contact physique, mais aussi dans son appréhension de ce même contact.
Imaginez-vous être dans l’eau chaude, flotter en étant complètement soutenu… devenir le mouvement, partir loin au fond de soi, comme dans un retour aux sources de la vie…
L’atmosphère contient des ions, c’est-à-dire de fines particules électrisées; les unes sont chargées d’électricité positive, les autres d’électricité négative. On serait porté à croire que les ions positifs sont positifs et que les ions négatifs sont négatifs.
Il y a 17 ans, pourquoi avez-vous créé la revue Cheminement, et pourquoi ce titre? Pour donner un sens à cette question, je dois faire un recul dans le temps.
J’ai deux passions dans la vie : l’écriture et la santé. J’ai su que les deux allaient me servir, le jour où Denis Manseau m’a proposé d’être rédactrice en chef de la revue Cheminement.
J’aime l’aube qui précède l’aurore. Elle est le moment de la journée où apparaissent à l’horizon les premières lueurs du jour.
L’engagement, un mot qui a du chien, un mot qui mord! Si pour la plupart d’entre nous ce mot fait peur, c’est qu’il nous force à une rencontre avec soi.
J’aime l’humain. Je m’intéresse au parcours de vie des femmes et des hommes qui m’entourent. Je suis émue par la vulnérabilité de l’autre.