Vairaagya, le non-attachement
Nous pouvons aisément comprendre que la joie et la tristesse sont des émotions de nature transitoire. Tout ce qui existe subit l’influence d’une fluctuation constante, leur existence étant momentanée.
Nous pouvons aisément comprendre que la joie et la tristesse sont des émotions de nature transitoire. Tout ce qui existe subit l’influence d’une fluctuation constante, leur existence étant momentanée.
Nous sommes récemment déménagés dans l’Ouest d’Ottawa. On y a découvert une région accueillante, des gens sympathiques et avec eux, leurs multiples animaux domestiques.
« Le devoir le plus sous-estimé est celui d’être heureux. En étant heureux, nous semons des avantages anonymes sur terre. »
« Le devoir le plus sous-estimé est celui d’être heureux. En étant heureux, nous semons des avantages anonymes sur terre. »
Assis en cercle autour d’un feu de camp, près d’une caverne dans les hautes montagnes himalayennes, des anachorètes répétaient des sons, des mantras, créant une atmosphère introspective. Les yeux fermés, il se concentraient sur la source même des pensées et du son pour la réaliser.
La méditation sert d’outil pour apaiser l’esprit, pour créer un sentiment de paix profonde. Lorsque ceci est atteint, un nouveau type de conscience jaillit, une perspective qui ne peut pas être rejointe par un esprit superactif ou anxieux.
Chaque jour, nous créons la façon dont se déroule notre vie. Et pourtant, on oublie cette étonnante capacité que nous avons à créer notre propre monde.
« La nécessité d’interagir est profondément enracinée dans notre code génétique. Tellement que l’absence de connexion sociale déclenche des cloches d’alarme primaires semblables à la faim, la soif et la douleur physique. »