L’atmosphère contient des ions, c’est-à-dire de fines particules électrisées; les unes sont chargées d’électricité positive, les autres d’électricité négative. On serait porté à croire que les ions positifs sont positifs et que les ions négatifs sont négatifs. N’en croyez rien, le terme est trompeur! Les ions négatifs sont positifs; ils nous sont très positifs.
Les ions négatifs chargés d’oxygène sont indispensables à notre bien-être et ils améliorent notre qualité de vie en maintenant des niveaux élevés d’énergie et un état d’esprit positif. Aussi, ils permettent d’améliorer les situations d’anxiété, de stress, de perte de concentration et de mémoire.
Quant aux ions positifs, ils détruisent les ions négatifs, sont nocifs, et sont issus principalement de la pollution et des champs électromagnétiques qui nous intoxiquent.
D’ailleurs, certaines circonstances favorisent la production d’ions positifs : la pollution, le temps orageux jusqu’à ce que l’orage éclate, l’usage d’appareils électriques, les ordinateurs et imprimantes, l’éclairage fluorescent, les lignes à haute tension, le WiFi, l’air conditionné, les frottements de tissus synthétiques, la pleine lune, pour n’en nommer que quelques-unes.
Yves Guin, ingénieur en électronique physique, nous apprend que les écrans de nos téléviseurs et ordinateurs envoient des ions positifs en très grande quantité; on mesure 5 000 à 10 000 ions positifs/cm3, à un mètre de l’écran.
Ions négatifs, où faire le plein?
Au pied d’une cascade : 50 000 ions négatifs/cm3; en montagne et en moyenne altitude : 8 000; au bord de la mer : 4 000; en forêt : 3 000; après un orage : 2 000 à 5 000; lors d’une promenade à la campagne : 1 200.
Par comparaison, et de façon approximative, cette concentration chute drastiquement à + ou – 200 ions négatifs par cm3 en ville, 150 à 200 à l’intérieur de nos logements, 100 à 150 dans une chambre à coucher non aérée pendant la nuit, 50 dans un bureau fermé, au travail, et 15 dans une voiture. Cette baisse de concentration d’ions négatifs entraîne fatigue, manque de concentration, irritabilité, somnolence, migraines…
« L’idéal serait qu’il y ait par cm3 au minimum 1 500 à 2 000 ions négatifs, et moins d’ions positifs », explique le Dr Hervé Robert, médecin nutritionniste.
Puisqu’en général nous passons beaucoup plus de temps à l’intérieur qu’à l’extérieur, nous sommes « sous-alimentés » en ions négatifs. Une solution s’offre à nous pour enrichir l’air de nos bureaux de travail et de nos maisons : un ioniseur. C’est un appareil qui recharge l’air en ions négatifs et rend donc l’air plus sain. Un ionisateur ne produit pas d’ions à proprement parler, mais propulse des électrons vers l’oxygène contenu dans l’air, lequel se fait transformer en ions négatifs.
Les ions négativement chargés s’attachent aux contaminants et allergènes, lesquels sont positivement chargés. Les particules formées deviennent trop lourdes pour rester dans l’air et tombent au sol, hors de l’air que nous respirons.
« Les lampes de cristaux de sel de l’Himalaya ont la propriété de générer des ions négatifs et d’assainir l’air », écrit Jacques Largeaud. Géobiologue, dans son livre : Géobiologie de l’habitat et géobiologie sacré.
En terminant, sachez qu’une bonne façon d’obtenir une dose d’ions négatifs au quotidien, c’est de prendre une douche!
Une réponse sur “Le pouvoir bénéfique des ions négatifs”
Merci beaucoup pour cet article simple et facile à saisir !
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